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de Paris Normandie du samedi 5 janvier
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de Paris Normandie du lundi 7 janvier
article
de Paris Normandie du mardi 8 janvier
article
de Eure Info du mercredi 9 janvier
PARIS
NORMANDIE - EURE
Nationale 2 féminine
Après neuf journées de championnat les Ebroïciennes restent invaincues
et sont ainsi leaders de la poule C de Nationale 2. En attendant Dunkerque Mais le jeu des protégées de Gérard Pringuet n'en a pas du tout
souffert, il est resté d'un excellent niveau ce qui a rassuré un peu
plus l'entraîneur, satisfait de voir combien les joueuses sont désormais
à son écoute.
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PARIS
NORMANDIE - Eure (édition du samedi 05 janvier) Nationale 2 féminine Evreux
veut garder le sourire
A
priori, avec une seule victoire à domicile en huit rencontres, c'était
contre Vitré lors de la 1re journée fin septembre, Basse-Indre ne
devrait pas poser trop de problème aux Ebroïciennes, ce soir (20 h
à Pablo-Neruda, Pro B oblige) pour la reprise du championnat. On voit mal
le leader invaincu, et qui a tout écrasé sur son passage jusque-là, se
prendre pour la première fois les pieds dans le tapis devant la formation
de Loire-Atlantique. Les visiteuses restent en effet sur une série de
sept revers et partagent actuellement la lanterne rouge avec
Villeneuve-d'Ascq. N'en déplaise au toujours prudent Bernard Moronval,
(mais dans sa position il a raison) cette reprise ne devrait être que
formalité. Une façon, avec le match de Coupe de France à suivre dans
huit jours à Armentières (N3), de préparer des échéances autrement sérieuses
comme ce délicat déplacement à Dunkerque qui se profile à l'horizon du
19 janvier. Car pour les filles du président Pringuet, l'objectif
immédiat est de se présenter en position de force le 9 février
chez leurs dauphines rennaises pour un premier match retour qui
conditionnera forcément la suite des événements. En amical contre des garçons En
attendant, il s'agit de ne pas laisser de points en route. Les Ebroïciennes
n'ont donc eu droit qu'à cinq jours francs de vacances après la formalité
de leur qualification en Coupe de France devant Roubaix. Elles ont ainsi
meublé la trêve de deux rencontres amicales, disputées sans leur tour
de contrôle, Agnès Cieslak partie passer les fêtes chez elle en
Pologne. La première s'est soldée par une grosse trempe (-30) mais c'était
contre. des garçons, Val-de-Reuil (Promotion d'Excellence) en
l'occurrence, la seconde le lendemain par une large victoire (+35) aux dépens
des filles de Bihorel (N3). Comme un retour à la normale quoi. « Contre
les garçons, on manquait de rythme. On a beaucoup couru et souvient
n'importe comment, » relève au passage l'entraîneur qui a récupéré
Agnès Cieslak il y a une semaine. C'est donc au complet, mais avec cet
effectif toujours limité en raison de la longue indisponibilité de Fanny
Vanbleu, que l'EAC entend préserver son leadership en ce début d'année. Daniel CHARMETEAU
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PARIS
NORMANDIE - EURE dimanche
7 janvier Nationale 2 féminine
Les
Ebroïciennes en démonstration
Samedi soir, les Ebroïciennes ont, une fois de plus, dominé de la tête
et des épaules leur adversaire. Contre Basse-Indre, les filles de l'EAC
rencontre ont pour la première fois de la saison passé le cap des 100
points. Bernard Moronval est rassuré après ce nouveau succès (103-57).
« Le groupe a progressé, a toujours la même envie, et a su
resté en alerte durant toute la partie même si l'issue ne réservait pas
de surprise. Autre point fort, la prestation de Fatou Biagui. Elle a été
phénoménale. » Un collectif parfait
Malgré la grippe, Jehanne Detry donnait le ton d'entrée, alignant
sept points, distribuait quelques caviars, notamment à Emilie Maurice. C'était
suffisant pour permettre aux protégées de Gérard Pringuet de faire la
course en tête et de mener 25 à 14 à la fin du premier quart temps.
Basse-Indre ne lâchait pas, revenait même à sept points (27-20, 12e),
avant d'encaisser un 12-0 en un peu moins de cinq minutes (39-20).
Emilie Maurice voulait bien faire en présence de toute sa famille.
Elle y est parvenue, réalisant presque un sans-faute en première période.
Avec 18 points inscrits, elle était alors la meilleure réalisatrice, et
Evreux menait 51-26. CATHERINE LENOIR |
article de Philippe GUINCHARD - Eure Info du mercredi 9 janvier